Tabou n°3
La troisième livraison de la revue de Jean Plantin est d’une excellente qualité comme les précédentes. Le numéro est d’une tonalité plutôt « américaine » comme le premier était « japonais » et le second « russe », avec les contributions de Hugh Perry (USA), Glayde Whitney (USA), Kevin MacDonald (USA), Carlo Mattogno (Italie), Robert Faurisson (France), Jared Taylor (USA) et David Duke (USA). Tout d’abord deux articles sur le judaïsme, l’un portant sur le livre de MacDonald (Analyse évolutive de l’implication juive dans les mouvements intellectuels et politiques du 20e siècle, non traduit en français), l’autre de MacDonald lui-même. Cette thèse très brillante confirme ce que de nombreux chercheurs et intellectuels ont conceptualisé depuis des décennies : peuple ayant vécu sur une idéologie raciste de tous les instants, ayant dogmatisé la notion du collectif, ils ont compris que le meilleur moyen d’asseoir leur pouvoir est de détruire toute notion collective chez leurs adversaires, autrement dit les fils de Japhet, suite à l’action commune de deux idéologies génétiquement juives : le communisme et la psychanalyse. Perry dit, à juste titre, au sujet de l’œuvre de Mac Donald : « On y chercherait en vain l’évocation de « Sages » se réunissant dans des cimetières ou de cabales secrètes directement inspirées par une secte satanique d’Illuminati que dirigeraient en sous-main d’obscurs « insiders » depuis leurs bureaux secrets de Manhattan ». Je me permets d’ailleurs cette réflexion personnelle : incapable d’apporter la moindre preuve d’un ordre nazi pour l’extermination des Juifs, Raoul Hilberg lança la thèse de la « télépathie ». Cet échappatoire grotesque fit hurler de rire les révisionnistes et égaya d’une touche bouffonne le procès Zündel. Féru de psychologie raciale, je n’ai pas ri du tout. Je ne me moque jamais des propos de l’ennemi, j’essaye d’abord de comprendre. Car chaque thèse n’est qu’un message à décrypter. Celui qui trouve la clef ouvre toutes les portes… Quel message Hilberg a-t-il voulu lancer ? Quel aveu sous-jacent ? Nous sommes tous une subtile alchimie née du sang qui coule dans nos veines, de la culture et des valeurs qui nous ont été transmises et de livres que nous avons lu. La thèse d’Hilberg est la suivante : sans se concerter, les nazis auraient donc chacun dans son coin œuvré pour la liquidation des Juifs. Cette thèse est invalide car même dans cette politique, ils auraient laissé des traces. Mais cependant, pourquoi Hilberg a dit cela ? N’étant pas un affabulateur à la Wiesel, il a réagi non pas en menteur, en faussaire professionnel, mais avec ses connaissances à lui. Hilberg est de souche sémite. J’avais en son temps fait une analyse sur la religion-sœur du judaïsme : l’islam. J’avais douté de l’existence (je ne suis pas seul) d’un état-major centralisé d’Al-Qaida mais plutôt opté pour ce que j’appelle « l’effet de symbiose » : chaque islamiste connaît son Coran et la notion de Djihad. Il connaît son pays, sa terre natale et sait donc mieux que quiconque où frapper sans que Ben Laden (qui n’est pas le chef, mais passons) ne le lui dise. Les sémites ont tout un héritage culturel de nomades organisés en structures tribales. Il n’y a jamais eu vraiment de direction centralisée mais au contraire une nuée de clans, parfois et même souvent antagonistes, mais qui ont toujours su s’unir le cas échéant contre les fils de Japhet. Ce fait confirme ce que disait MacDonald et montre qu’en ce qui concerne les Juifs, il n’y a pas de « Sages de Sion » mais tout simplement la conscience collective de l’intérêt de la communauté.
Autre article très intéressant, celui de Jared Taylor sur le viol dans les prisons américaines. On y apprend notamment qu’il s’y commet 140.000 viols par an (il y a 90.000 femmes violées aux Etats-Unis chaque année) selon un rapport de Joanne Mariner paru en 2001 pour Human Right Watch et que la quasi-totalité des victimes sont des Blancs, les violeurs étant tout aussi exclusivement Hispaniques et Noirs. Il est intéressant de noter que si un Noir essaie de violer un Hispanique ou réciproquement, les frères de race de la victime massacrent l’impudent. Or, il n’y a pas cette solidarité raciale chez les Blancs. Et pour cause, ils n’ont aucune conscience raciale, élevés qu’ils furent dans la culpabilité. Par contre, et c’est intéressant, ils acquièrent cette conscience dès leur premier séjour en prison, un nombre non-négligeable de prisonniers acquiert cette solidarité. Parfois même, les Blancs se vengent : c’est le cas de John King qui, en 1998, avait liquidé un nègre en le traînant avec son pick-up (sorte de camionnette) à Jasper (Texas). King était devenu raciste en prison (il y avait été incarcéré pour cambriolage) après avoir été victime de plusieurs viols collectifs racistes par des noirs.
Tabou n°3 – 20 € - Akribeia –45/3, route de Vourles – 69230 SAINT-GENIS-LAVAL – ISBN : 2-913612-09-1
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